Danser, du regard et des mains apprivoiser
Une proposition, un pour parler,
une invitation a tout oublier
une invitation a tout oublier
Tanguer, comme les radeaux dérivent, les canoës
Comme le vin ennivre, se griser,
comme un tango, tanguer se renverser
Tomber, comme l'oiseau porté par les grands vents
Comme le bateau au fond de l'océan,
comment choisir de vivre le néant
Aime-moi, aime-moi
Aime-moi, aime-moi
Danser, fermer les yeux ne surtout plus penser
Du bout des doigts te toucher te troubler
Dire que je danse, mais t'apprivoiser
Tomber, dans cet orage mourir foudroyé
Dans ce volcan, me perdre et m'y brûler
Mourir d'amour et en ressusciter
Aime-moi,
Comme une parenthèse, une pose une trêve, un vide ou je me noie
Aime-moi,
Comme l'amour en rêve sans interdit sans règle ne plus penser qu'a ça
Aime-moi,
Et comme un sacrilège assouvir le cortège de mes désirs de toi
Aime-moi,
Et j'arrête le temps respire a contre temps ne respire presque pas
Aime-moi,
Je trace le chemin de la bouche de mes mains te dessine la voie
Aime-moi
Et c'est moi qui décide qui t'emmène et te guide et dispose de toi
Aime-moi
Te manger comme une pomme qu'on croque et abandonne te prendre comme un homme
Aime-moi
Je connais la manière et comment il faut faire pour trouver la lumière
Aime-moi, aime-moi
de Claude Barzotti
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